Marion RHETY - Danseuse
Morceau de Lune
Formée à l’école nationale de musique et de danse de Mâcon en violon et en danse contemporaine, puis au conservatoire de Lyon en danse contemporaine, et parallèlement en histoire et histoire de la danse (Lyon 2, Paris 1, ULB), elle choisit ensuite Bruxelles comme port d'attache pour différentes expérimentations et Paris comme contrepoint récurrent, pôles récemment inversés, astuce qui ne décourage pas son nomadisme instinctif.
Elle chemine en danse comme interprète : Kenzo Kusuda, Flora Gaudin, Clara Guémas, Sophie Lenfant, Sthyk Balossa, Véronique His, Claire Malchrowicz… approche renouvelée par la rencontre vertigineuse du travail de Nacera Belaza en 2015. Elle poursuit également un travail chorégraphique, nourri des expériences du collectif et de l'improvisation, notamment en espace urbain et non scénique (Dans se perdre…), s’intéresse à la transmission en tout terrain, mène un travail de réflexion théorique sur la danse et les arts de la scène (festival inside/out, revue Agôn…).
Plaçant la danse à l'endroit de la rencontre avec l'autre, elle se nourrit du vocabulaire de la danse contemporaine à tous les étages de son histoire, de la pratique de la marche, ainsi que de la pratique de danses populaires (notamment la dabkeh). Une constante parmi ses intérêts, les détours et les pas de côtés (notamment vers l’écriture et vers le travail sonore – une façon peut-être de mieux tenir le centre), serait sans doute à chercher dans la perception des métamorphoses.
Elle chemine en danse comme interprète : Kenzo Kusuda, Flora Gaudin, Clara Guémas, Sophie Lenfant, Sthyk Balossa, Véronique His, Claire Malchrowicz… approche renouvelée par la rencontre vertigineuse du travail de Nacera Belaza en 2015. Elle poursuit également un travail chorégraphique, nourri des expériences du collectif et de l'improvisation, notamment en espace urbain et non scénique (Dans se perdre…), s’intéresse à la transmission en tout terrain, mène un travail de réflexion théorique sur la danse et les arts de la scène (festival inside/out, revue Agôn…).
Plaçant la danse à l'endroit de la rencontre avec l'autre, elle se nourrit du vocabulaire de la danse contemporaine à tous les étages de son histoire, de la pratique de la marche, ainsi que de la pratique de danses populaires (notamment la dabkeh). Une constante parmi ses intérêts, les détours et les pas de côtés (notamment vers l’écriture et vers le travail sonore – une façon peut-être de mieux tenir le centre), serait sans doute à chercher dans la perception des métamorphoses.